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20 mai 2008

Manif du 22 mai 2008 à propos des retraites

37,5…40…41…STOP  !

Tous ensemble contre l’allongement

de la durée de cotisation à 41 ans

 

Sur tous les fronts, nous sommes aujourd’hui soumis à une pression considérable :

SALAIRES : fin 2008, les fonctionnaires auront perdu 9% de pouvoir d’achat depuis 2000. Soit l’équivalent d’un mois de traitement par an ! Les prix flambent. De mars 2007 à mars 2008, l’inflation a dépassé les 3% !

 

RETRAITES : passage de 37,5 à 4O années (loi Fillon 2003) et maintenant passage de 40 à 41 ans (toujours Fillon). Bientôt, il faudra cotiser 42 ans pour bénéficier d’une retraite pleine et entière, comme cela a été signé à Barcelone en 2001 par Chirac et Jospin. Aucune autre source de financement n’a été recherchée même pas celles évoquées par la Cour des comptes (cotisations sur les stocks options par exemple)

L’objectif poursuivi est de liquider le régime de retraite solidaire par répartition en rendant impossible la constitution d’une retraite pleine afin de favoriser le recours aux fonds de pension et assurances privées. Bref le recours au chacun pour soi qui condamne la majorité des futurs retraités à la misère.

 

SERVICES PUBLICS : En 2008 : 20 000 postes de fonctionnaires d’État supprimés, et pour 2009, Sarkozy annonce 30 000 autres suppressions. Classes surchargées, fermeture des tribunaux d’instance, privatisations, autonomie des universités.

Sans services publics, l’égalité est un vain mot.

DROIT A LA SANTE : les franchises médicales (après l’euro non remboursé sur chaque consultation…) payées par les seuls malades, rompent avec le principe premier de la sécurité sociale (la participation solidaire de tous à la santé de tous) et remet en cause l’accès aux soins.

Le 15 mai 2008, l’ensemble de la fonction publique à l’appel de CFTC-CGT-FSU-SOLIDAIRES-UNSA a fait grève et manifesté contre la casse des services publics et du statut de la fonction publique.

Nous avons manifesté contre la Révision Générale des Services Publics (RGPP), jargon gouvernemental qui se traduit par des milliers de suppressions d’emplois et qui concerne toutes les fonctions publiques.

Le 22 mai 2008, en défense de nos retraites, à l’appel de CFDT-CFTC-CGC-CGT-FO-FSU-SOLIDAIRES-UNSA, nous ferons encore grève et nous manifesterons, tous ensemble, public-privé.

 

La FSU exige

 

Pour tous, 75% du dernier traitement à 60 ans avec 37,5 annuités

 

Cela passe par :

  • l’abrogation des décrets Balladur et loi Fillon ;
  •  

  • l’abandon des décotes ;
  •  

  • le rétablissement des bonifications pour enfants dans la fonction publique et des mesures pour les parents ayant élevé seuls leurs enfants ;
  •  

  • la revalorisation des pensions.
  •  

  • Le rétablissement de la CPA.
  •  

Cela passe par de nouveaux droits :

  • La prise en compte des périodes de temps partiels, de chômage et de précarité par un financement solidaire ;
  •  

  • La prise en compte des années d’études ;
  •  

  • La prise en compte de la pénibilité.
  •  

 

La FSU refuse

  •  

  • un système de retraite à deux vitesses : le développement de l’épargne retraite pour ceux qui le peuvent et l’assistance minimale pour les autres.
  •  

  • De nouvelles dégradations avec un nouvel allongement de la durée de cotisation.
  •  

    Ces revendications n’ont rien d’utopique. Le gouvernement prétend qu’il n’y a pas d’autres choix que celui de l’appauvrissement des retraités.

    La FSU défend d’autres choix : ceux de la solidarité entre les générations et les professions. Ils nécessitent un meilleur partage des richesses, en consacrant aux retraites une part des gains de productivité acquis par le travail des salariés.

Le Jeudi 22 mai, tous ensemble

" POUR DES RETRAITES SOLIDAIRES "

Manifestation

Rendez Vous : 10 h 30 au Vieux Port

06 mai 2008

Greve du 15 mai 2008

LE SERVICE PUBLIC EST NOTRE RICHESSE

POUR LE DEFENDRE ET L’AMELIORER

 

MOBILISONS-NOUS !

 

Grève le Jeudi 15 Mai

 

A l’appel des organisations syndicales de la fonction publique

NOUS N’ACCEPTONS PAS !

les 160 000 suppressions de postes prévues en 4 ans dans la Fonction Publique d’Etat. Le 1er Ministre a déclaré " la réforme de l’Etat supposera que chacun d’entre nous accepte qu’il y ait moins de services, moins de personnel, moins d’Etat sur son territoire ".

NOUS N’ACCEPTONS PAS !

La précarisation de la Fonction Publique : 25% des employés de la Territoriale sont des précaires. La RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques) décharge l’Etat de nombreuses missions en les " externalisant " ou en les renvoyant vers les collectivités territoriales qui privatisent et suppriment des postes.

NOUS N’ACCEPTONS PAS !

La perte de 7% du pouvoir d’achat des fonctionnaires depuis l’année 2000.

MANIFESTATION JEUDI 15 MAI

10h30 au Vieux Port Marseille

29 février 2008

La territoriale

La territoriale

Promouvoir un syndicalisme unitaire au service de l’intérêt général

Chers(es) collègues

La nouvelle étape de décentralisation, en 2004, s’est traduite par le transfert de 130 000 fonctionnaires de l’éducation nationale, de la Culture et de l’Équipement vers la fonction publique territoriale. La FSU a décidé d’accompagner ces agents, qu’elle syndiquait. Le renouvellement des représentants du personnel dans l’ensemble des organismes paritaires, CAP, CTP et CHS, interviendra en novembre 2008. Ce sera l’occasion pour la FSU de se présenter à vous et à vos suffrages.

La FSU est une organisation syndicale qui a pour objectif de promouvoir un syndicalisme unitaire au service des aspirations et des revendications des personnels. Elle œuvre en faveur de choix économiques et sociaux de justice, d’égalité et de démocratie. La FSU défend un syndicalisme de propositions appuyées sur la construction permanente des rapports de forces. Vous la voyez toujours dans la rue où elle constitue la deuxième force syndicale en terme de manifestants. Elle favorise le développement du rôle et de la place des femmes dans la société et agit pour garantir leurs droits. La fédération donne la primauté au dialogue et à l’écoute mutuelle, associe l’ensemble des syndiqués au débat et à la vie de la fédération, respecte les diversités. Elle a en permanence le souci de débattre avec l’ensemble des personnels. Elle ne se satisfait pas de la division syndicale et travaille à la construction d’un syndicalisme plus unifié.

Dernièrement, elle a œuvré à construire et réussir les grèves du 20 novembre et du 24 janvier pour la défense des salaires par une augmentation du point d’indice, la refonte de la grille, la défense de l’emploi et des statuts contre la précarité qui se développe, le développement d’un service public de qualité pour tous et partout. Contre les réformes Balladur et Fillon qui se sont traduites par une dégradation des retraites, la FSU défend pour tous les salariés un taux de 75 % à 60 ans pour 37,5 annuités. Le gouvernement a engagé une profonde et destructrice réforme de l’État qui ne pourra que se répercuter sur les missions, les modes de travail et de gestion des personnels de la territoriale.

C’est tous ensemble qu’il nous faut défendre, améliorer, transformer le statut de la fonction publique dans ses trois versants. Ensemble, nous sommes 5,2 millions, fonctionnaires ou agents, exerçant notre activité dans les collectivités territoriales et des établissements publics, les hôpitaux, les services de l’État.

Nous sommes et entendons rester " au service de l’intérêt général ".

Gérard A Aschieri

SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA FSU

Défendre et développer les services publiques

Tous les gouvernements cherchent à nous convaincre que les services publics, la fonction publique coûtent trop cher. Ils développent une logique purement financière de réduction des crédits et de la masse salariale de la fonction publique. Ils transfèrent ses missions non régaliennes (santé, transport, éducation, formation professionnelle, aide sociale, insertion, etc.) aux collectivités territoriales sans leur en fournir les moyens financiers ou au secteur privé pour l ‘aider à valoriser son capital. Cela crée une double injustice. D’abord parce que la nature des impôts locaux est fortement inégalitaire. Ensuite parce que cela conduit les collectivités territoriales les plus pauvres à exercer une pression fiscale plus forte que les collectivités les plus riches pour maintenir la qualité des services rendus aux usagers. Ou à prendre en charge certains d’entre eux de façon dégradée.

Ces inégalités sont flagrantes dans l’action sociale dont les coûts, avec la montée de la pauvreté liée au chômage et à la précarité, sont en constante augmentation.

Pour nous, l’égalité d’accès et de traitement des usagers, sur tout le territoire, constitue un véritable enjeu de société. Les partisans des privatisations avancent les arguments du moindre coût, d’une

meilleure efficacité et d’une plus grande motivation des agents. Une quantité d’exemples de privatisation d’entreprises publiques nous démontrent le contraire : distribution de l’eau, transports, collecte des déchets, services de la Poste. Les privatisations n’ont amené aucune amélioration de qualité de service, mais plutôt une restriction de la couverture du territoire et l’exclusion de certains usagers par l’augmentation des tarifs. C’est pourquoi la FSU considère que les services publics ne peuvent être conçus comme de simples prestataires de service qui obéissent à des règles de rentabilité financières déterminant leurs règles tarifaires comme leur implantation.

La santé, l’emploi, l’éducation, la culture, la justice, l’eau– sont des biens communs auxquels tous les citoyens doivent avoir accès égal, où qu’ils vivent et travaillent. Ils constituent un outil de développement économique et favorisent la cohésion sociale.

Les usagers et les fonctionnaires doivent être réellement associés aux phases d’élaboration des décisions prises pour le fonctionnement des services publics.

Le statut

Si tous les agents de la fonction publique n’ont pas la qualité de fonctionnaire

(15 % de non titulaires et de précaires au sein de fonction publique), les agents qui sont fonctionnaires ont cette particularité d’être régis par un statut et non par un contrat. Ce statut a été élaboré à la Libération par la loi du 19 octobre 1946.

La loi de 1983-1984 instaurant une fonction publique " à trois versants " (État, collectivités territoriales, établissements publics hospitaliers). Ce statut n’est pas un privilège mais un ensemble de droits et d’obligations qui s’imposent à tous les agents. En s’attaquant au concours pour y opposer le contrat, en prônant l’individualisation des rémunérations au mérite, pour mieux esquiver les demandes de revalorisation, c’est toute la logique du statut qui est remise en cause, avec les dégâts que l’on connaît pour les personnels et les usagers.

L’égalité d’accès et de traitement des usagers constitue un véritable enjeu de société

Avec les usagers, les élues, les personnels, la FSU entend défendre, améliorer et démocratiser les services publics, notre bien commun. Le statut des fonctionnaires est une garantie pour chaque citoyen.

Les revendications de la FSU dans la fonction publique territoriale

Augmentation du pouvoir d’achat : la perte, depuis 2001, de plus de 7 % de pouvoir d'achat des agents publics, renforce la revendication de la FSU d'une augmentation de la valeur du point d'indice mais aussi l'évolution del'ensemble de la grille des salaires. Lors de son dernier congrès à Marseille, la FSU s'est exprimée pour un SMIC à 1500 € et une augmentation générale des traitements des agents publics (40 points pour tous).

Amélioration des conditions de travail : stress, productivité, harcèlement... autant de mots qui reviennent de plus en plus souvent dans notre secteur. Si la professionnalisation des fonctions est le gage d'une meilleure efficacité du service public, elle ne doit pas se faire sur le dos des agents et au mépris de leur santé. Pourtant, nombreux sont ceux qui se plaignent d'une dégradation de leurs conditions de travail : ce n'est pas normal. La FSU revendique de meilleures conditions de travail pour les agents, en particulier en favorisant leur expression démocratique sur le lieu de travail. Cela passe par l'accroissement du rôle et des capacités d'intervention des élus CHS, le renforcement de la médecine professionnelle et préventive, des personnels de médiation pour enrayer le développement des phénomènes de harcèlement.

Lutte contre la précarité : contractuel sur l'emploi permanent, saisonnier, agent sur vacance d'emploi, faux vacataire, assistante maternelle ou familiale, emploi jeune, CEC, CES, PACTE, CDI... l'emploi précaire se développe dans la FPT au détriment de l'emploi statutaire, gage de son indépendance. Un plan de titularisation avec des procédures d'intégration doit être organisé. La FSU préconise un meilleur encadrement du recrutement des non titulaires par une nouvelle écriture de l'article 3 du statut et un renforcement du rôle des services préfectoraux en matière de contrôle de la légalité. Elle entend favoriser la création d'un service assurant une prestation de remplacements réalisés par des fonctionnaires gérés par les centres de gestion

Égalité hommes/femmes : on est loin de l'objectif affiché d'une égalité professionnelle hommes/femmes dans la FPT. Par exemple, parmi les non-titulaires, la part des femmes est de 69 %, contre 57 % parmi les titulaires. De même, dans la catégorie A, les femmes sont proportionnellement sous représentées dans les fonctions d'encadrement. Cette situation est anormale. Aussi la FSU entend prendre toute sa place pour combattre ces inégalités et œuvrer pour une réelle parité.

Attractivité de la FPT : la FPT vient de subir un certain nombre de décisions négatives : la banalisation du CDI, la décision du gouvernement de privatiser les offices publics HLM à partir du 1 er janvier 2008, la refonte en trompe-l'œil des échelles de rémunération de la catégorie C par exemple. Les agents territoriaux méritent mieux. L'ambition d'un grand service public passe par le respect de chaque agent quelle que soit sa catégorie, or force est de constater que ce n'est pas le cas. Un service public de qualité, ce sont des carrières attractives, des métiers reconnus, un vrai statut pour tous, un salaire motivant, une formation professionnelle sur le temps de travail, qui permettent à chaque agent de se sentir " bien dans son service public ".

12,6 % de la rémunération c’est ce que représente, en moyenne, le régime indemnitaire des agents titulaires

50 % des collectivités parmi les plus petites, ne disposeraient pas de régime indemnitaire

75 % des effectifs de la FPT sont des agents de catégorie C, dont la majorité ne perçoit pas de régime indemnitaire

La FSU et ses syndicats

La FSU et ses syndicats

L ’UNATOS regroupe les TOS (Techniciens Ouvriers de Service) qui travaillent dans l'Éducation nationale (lycées, collèges et services). Ces personnels qui sont près de 90000 transferts, représentent une arrivée importante dans les collectivités. L'UNATOS a pris position, dès le début, contre cette décentralisation et, a agi avec succès, pour prendre en compte nos spécificités, en obtenant un cadre d'emploi propre aux agents des lycées et des collèges. Ceci contribue à défendre et à améliorer les conditions de travail, les rémunérations des personnels.

UNATOS FSU, 17, rue Melchion, 13005 Marseille - Tél. : 04 95 08 11 33 - Courriel : unatos.nat@wanadoo.fr

Le SNAC regroupe les personnels permanents ou intermittents des services culturels de l'État, des collectivités territoriales, et relevant du droit privé. Il défend un service public assurant à tous les citoyens une réelle égalité d'accès à la culture. Cela, à l'opposé d'une conception consumériste, où toute activité, ni autosuffisante, ni profitable devrait se transformer ou disparaître, malgré les besoins sociaux qui ont inspiré sa création.

SNAC-FSU - 12, rue de Louvois, 75002 Paris - Tél. : 01 40 15 51 34 - Courriel : snac-fsu@culture.fr

Le SNU-CLIAS est une union de syndicats départementaux créée en 2003 par des militants syndicaux qui ont combattu la réforme des retraites et rejoint la FSU à cette occasion. Il regroupe les agents titulaires et non titulaires de la fonction publique territoriale employés dans toutes les collectivités locales (communes, conseils généraux, conseils régionaux, centres de gestion, les établissements publics relevant de l'intercommunalité...).

SNUCLIAS-FSU - 163, rue de Charenton, 75012 Paris - Tél. 01 42 87 43 00 - Courriel : snuclias@aliceadsl.fr

Le SNETAP , syndicat multicatégoriel majoritaire dans son secteur, regroupe toutes les catégories de personnels de l'enseignement agricole public. Pour les personnels TOS, il a toujours revendiqué leur place pleine et entière au sein de la communauté éducative. Il se bat pour l'amélioration de leurs conditions de travail (notamment contre la flexibilité), pour l'amélioration des carrières (accès à la catégorie B) et leur régime indemnitaire.

SNETAP-FSU - 251, rue de Vaugirard - 75732 Paris Cedex 15 - Courriel : snetap@snetap-fsu.fr - Tél. : 01 49 55 84 42

EPA, Syndicat unitaire de l’Éducation populaire, de l’action socioculturelle et sportive.

Ce syndicat intercatégoriel (service public d'État, collectivités locales et secteur associatif) a vocation à regrouper les personnels des filières socioculturelle et sportive dont les métiers concourent à la mission de service de la branche «jeunesse et sports », quelles que soient les catégories d'emploi.

EPA-FSU - 8, place de la Gare-de-l'État, CP 8, 44276 Nantes Cedex 02 - Courriel : epa@epafsu.org

Le SUP-Équip-FSU syndique les agents de l'ex-Équipement (désormais MEDAD) y compris mis à disposition des conseils généraux ou ayant opté pour le détachement sans limitation de durée. Depuis 2003, les sections du SUP-Équip des DDE et leurs élus en CAP locales (agents, contrôleurs, adjoints, dessinateurs) contribuent à organiser la défense des agents et des services publics en favorisant l'unité d'action.

SUP-Équip-FSU - 179, avenue de Clichy, 75017 Paris - Courriel : contact@sup-equip.org

SPU

Aujourd’hui, tous ces syndicats travaillent ensemble pour tenir compte des spécificités des métiers, des lieux et collectifs de travail, des situations des personnels et aussi pour s’ouvrir à tous les agents – titulaires ou non titulaires – afin de construire une fonction publique territoriale du XXIe siècle..

SNAC-FSU

La Fédération Syndicale Unitaire se donne pour ambition d'agir dans une perspective fédérale, pluraliste et démocratique, indépendante et unitaire.

En raison de son histoire et de la récente décentralisation la FSU regroupe plusieurs syndicats qui organisent et défendent les personnels de la Fonction Publique Territoriale.

24 janvier 2008

ACTION SOCIALE - Élections Escapade

Merci aux agents abstentionnistes!!

 

Le SDU-13 FSU a bien été entendu sur le boycott de ces élections!! : 3523 adhérents à l'association, 825 votants à peine 23% de suffrages exprimés.

Le premier élu obtient seulement 343 voix soit moins de 10% des inscrits.

Le Directeur Général des Services aura du mal à nous faire croire que ces personnes sont représentatives de l'ensemble des agents alors même que notre syndicat est exclu de l'AG et du CA!!!

RAPPELONS que nous exigeons la création d'un COMITE DES ŒUVRES SOCIALES comme au Conseil Régional PACA.

A la demande du SDU-13 FSU, une réunion de la commission d'action sociale était enfin programmée le 12 décembre….annulée le matin même.

Nous attendons une nouvelle date début janvier et nous demandons que soit inscrit à l'ordre du jour la prise en charge de la mutuelle, la revalorisation du ticket restaurant, l'accès à la crèche…

 

Le pouvoir d'achat est une préoccupation de l'ensemble des salariés, les prestations d'action sociale sont du salaire différé et à ce titre il est nécessaire que les représentants des personnels donnent leur avis et négocient. Nous sommes prêts !

11:05 Publié dans PUZZLE | Lien permanent | Commentaires (0)

POUR UNE REVALORISATION DE LA FILIÈRE SOCIALE DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

Le SDU-13 FSU a décidé de relancer la pétition pour la revalorisation de la filière sociale et de lui donner la dimension nationale qu’elle requiert.

Cette initiative correspond bien aux attentes de la profession et prend en compte les préoccupations des collègues du secteur.

Déjà signée par plusieurs milliers de professionnel(le)s, la pétition est aussi prise en charge par d’autres syndicats.

Nous voulons encore augmenter ce nombre pour que cette pétition soit significative et représentative sur le plan national.

Toutes les pétitions ainsi obtenues seront remises en juin 2008 au Ministre de la fonction publique ainsi qu’au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale afin que des réponses soient apportées aux revendications ainsi portées.L’aggravation des problèmes sociaux, la multiplication des dispositifs demande toujours plus de compétences aux travailleurs sociaux.

Malgré les différentes réformes des formations, les diplômes sont toujours homologués au niveau 3. Des postes de titulaires restent vacants faute de trouver des personnels diplômés intéressés par la fonction publique territoriale.

Ainsi que le relève un rapport au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale en octobre 2005, cette filière prend fin au grade de Conseiller socio-éducatif, obligeant à rejoindre le cadre d’emploi des attachés territoriaux par concours ou très limitativement du fait des quotas par la promotion interne.

Nous craignons donc la disparition de ce grade et des compétences techniques qu’il nécessite.

Fort de ces constats, nous exigeons l’ouverture de négociations pour :

→ L’homologation des diplômes d’état (AS, ES, CESF, EJE) au niveau 2 (BAC+3).

→ Le classement de ces personnels en catégorie A (bornage indiciaire brut de 379 à 780).

→ Un déroulement de carrière équivalent à la plupart des autres filières pour les cadres d’emploi d’encadrement.

→ Le respect des règles éthiques et déontologiques dans l’exercice des missions.

11:05 Publié dans PUZZLE | Lien permanent | Commentaires (0)

Nouvelle Bonification Indiciaire

Sur la totalité des sites déconcentrés de la DGAS, la NBI au titre des zones urbaines sensibles est accordée aux agents à l'exception de 4 Maisons Départementales de la Santé : Bonneveine, Gardanne, Marignane et Aubagne, le Secteur d’Aubagne et la Maison de l’Adoption (SARO).

 

Ces 6 services se sont mobilisés en faisant grève le 10 décembre 2007 et en déposant un nouveau préavis de grève, mais cette fois-ci reconductible pour le 17 décembre.

 

Les personnels ont refusé la "gratification" de la NBI Accueil que leur proposait l'administration, estimant que, recevoir un public socialement défavorisé, se déplacer à domicile, faire des évaluations sociales, n'avait rien d'un simple accueil.

 

Par ailleurs, les MDS de Bonneveine, de Gardanne, le secteur d'Aubagne ont démontré qu'elles avaient depuis 1992, date du décret définissant les ZUS, des rues et quartiers relevant de ces décrets sur leur territoire.

Le SARO pour sa part intervient sur tout le territoire du département, donc aussi sur les quartiers ZUS. De plus, les autres services analogues SAF, SMAPE, APA ont droit à la NBI!!!

 

Pour les MDS de Marignane et d'Aubagne : ces 2 villes sont placées en CUQS ce qui est équivalent aux ZUS.

 

Le Conseil Général, face à la détermination des agents et des syndicats et aux arguments apportés, a demandé à l'administration de présenter un rapport complet avant la fin de décembre. Et il s'est engagé à nous donner une réponse que nous pensons favorable dans le courant du mois de janvier.

 

Cela démontre que le RAPPORT DE FORCE associé à DE BONS ARGUMENTS peut débloquer des situations bien enkystées.

11:04 Publié dans PUZZLE | Lien permanent | Commentaires (0)

25 avril 2007

Pour un 1er mai de lutte

Au moment où s’ouvre la campagne pour le second tour la FSU réaffirme son exigence de rompre clairement avec les politiques qu’elle a combattues ces dernières années et son appel à bâtir des alternatives autour de quelques axes centraux :

 

- une politique qui assure à tous une véritable égalité d’accès aux droits fondamentaux et se donne comme priorité la consolidation et l’amélioration des services publics,

- une politique ambitieuse des carrières, des salaires, des pensions et de l’emploi,

- une protection sociale de haut niveau garantissant une réelle solidarité et une véritable égalité, une réforme des règles de représentativité et de dialogue social.

 

La FSU veut une rupture avec les politiques répressives et sécuritaires, elle revendique l’extension des droits et des libertés, la priorité à la prévention plutôt qu’à la répression, la lutte contre les discriminations le racisme et la xénophobie, la régularisation des sans papiers, l’arrêt de la répression et de la criminalisation des mouvements sociaux.

C’est le sens des dernières luttes : contre la loi Fillon sur les retraites, contre la politique des gouvernements Raffarin et De Villepin menée sur les carrières, les salaires et l’emploi public, contre la loi Sarkozy sur la prévention de la délinquance, contre les expulsions d’immigrés et de leurs enfants aux côtés de RESF et contre la répression des mouvements sociaux.

Le scrutin pour le second tour aura des conséquences importantes pour l’avenir des droits sociaux et des services publics. Son résultat pourrait faire peser de graves menaces sur les droits en particulier, le droit de grève, les libertés syndicales et civiques.

 

La FSU appelle les personnels à participer massivement au scrutin dans la continuité de leurs luttes et en cohérence avec les valeurs qu’ils défendent.

Elle considère également que dans ce contexte le mouvement syndical à un rôle majeur à jouer pour permettre de faire avancer des mesures de progrès social et de contrer les régressions. A cet égard les manifestations du 1er mai vont revêtir une importance particulière. La FSU souhaite qu’elles soient le plus unitaires possible et appelle tous les personnels à assurer leur réussite.

 

Rendez-vous à la Porte d’Aix à 10h30

au camion sono FSU