SNUTER CD 13 FSU

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17 janvier 2013

Salaires des catégories C

Grilles indiciaires de la catégorie C au 1er janvier 2013 : pas de coup de pouce pour les salaires !

Le 11/01/2013

L’augmentation du SMIC au 1er janvier 2013 porte le salaire minimum à 1430,76 euros brut par mois, soit l’indice majoré 309 et 4.63 euros d’augmentation (décret n° 2013-33 du 10/01/2013)

Cette augmentation impacte en catégorie C :
- échelle 3 jusqu’au 6ème échelon inclus,
- échelle 4 jusqu’au 4ème échelon inclus,
- échelle 5 jusqu’au 3ème échelon inclus
- échelle 6 inchangée

avec une augmentation dérisoire d’un point d’indice. C’est l’idée même de carrière qui est remise en cause.

Cette mesure concerne 20 % des agents de la Fonction publique. Cela démontre les effets négatifs du gel du point d’indice de la Fonction publique intervenu depuis juillet 2010 et le tassement de la grille de rémunération. Les fonctionnaires titulaires recrutés au niveau du bac, en catégorie B, seront désormais rémunérés à moins de 1 % au-dessus de ce minimum.

Une réunion sur les salaires dans la Fonction publique se déroulera le 7 février avec le gouvernement. Des mesures urgentes de revalorisation des grilles et de la valeur du point s’imposent !

TRACT_SNUCLIAS_SMIC_janvier_2013.pdf

 

16 janvier 2013

Journée d'action du 31 Janvier 2013

Salaire, emploi public,

jour de carence... ÇA SUFFIT !

Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, de la Fonction publique ont fait le point sur l'agenda social et les discussions.

 Si, ensemble, elles se félicitent que la Ministre souligne son attachement à la Fonction publique, à ses valeurs de progrès social, au rôle de ses personnels, si elles notent des améliorations dans la qualité du dialogue social, si elles estiment positives quelques mesures déjà prises comme, par exemple, l'abrogation du décret sur la réorientation professionnelle,

elles considèrent que sur les enjeux essentiels, aucun début de réponse satisfaisante n'est au rendez-vous.

Cela est inacceptable ! 

Sur l'emploi, les créations — qui vont dans le bon sens — dans certains secteurs ne sauraient masquer les suppressions qui continuent dans d'autres et la situation alarmante de pans entiers de la Fonction publique.

Sur les salaires et le pouvoir d'achat, alors que les bas salaires se multiplient (plus d'1 million d'agents aux environs du SMIC), que les déroulements de carrière sont souvent inexistants, que les qualifications ne sont plus reconnues, aucune mesure générale n'est envisagée et, en particulier, la valeur du point est toujours gelée.

Le jour de carence, mesure inique et inefficace, condamnée par tous les syndicats et le mouvement mutualiste, rejetée par la majorité actuelle lorsqu'elle a été mise en place, n'est toujours pas abrogé.

Il est urgent et indispensable de changer de cap !

La crise ne peut pas servir de prétexte pour ne pas répondre aux légitimes revendications des agents publics. À l'évidence, seule l'intervention des personnels permettra d'obtenir les avancées indispensables sur ces questions majeures. C'est pourquoi, les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, ont décidé d'une première étape unitaire de mobilisation dans la Fonction publique. Elles appellent à faire du jeudi 31 janvier une journée nationale d'action pour, notamment :

un moratoire immédiat sur les suppressions d'emplois, et des créations partout où cela est nécessaire ; conforter et développer la fonction publique et les services publics ; une augmentation urgente de la valeur du point d'indice ; l'abrogation du jour de carence.

Nous appelons les agents à faire grève et à participer aux manifestations et rassemblements organisés par les organisations syndicales.

TOUS EN GREVE ! 

Rendez vous à 10h

au Vieux Port

08 janvier 2013

Infirmiers territoriaux

Décret n° 2012-1420 du 18 décembre 2012 portant statut particulier du cadre d’emplois des infirmiers territoriaux en soins généraux

Le classement en Catégorie A des infirmiers est étendu à la F.P.T. à compter du 1er janvier 2013, avec la création du nouveau cadre d’emplois des infirmiers territoriaux en soins généraux (Catégorie A) . Y seront intégrés automatiquement les infirmiers territoriaux classés en catégorie dite "sédentaire". Les infirmiers classés en catégorie dite "active" auront quant à eux le choix entre :

- rester en catégorie B (nouvel espace statutaire : revalorisation indiciaire) et conserver le classement en catégorie "active" à la C.N.R.A.C.L.

- ou bien intégrer le cadre d’emplois des infirmiers en soins généraux (Cat. A) : de nouvelles grilles de rémunération et un classement en catégorie "sédentaire" à la C.N.R.A.C.L.

Ils auront 6 mois pour effectuer ce choix.

A compter du 1er janvier 2013, les recrutements s’effectueront uniquement dans le cadre d’emplois de la Catégorie A (fin des concours en catégorie B) ; celui de la Catégorie B sera à terme en voie d’extinction. La mobilité inter-fonction publique entre les corps et cadres d’emplois (détachement ou intégration directe) s’effectuera de A vers A et de B vers B.

 

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05 janvier 2013

Journée d'action

31 janvier 2013 : Une journée d’action dans la Fonction publique pour peser sur les négociations

Le 20/12/2012

Communiqué CGT-FSU-Solidaires du 19 décembre 2012

Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, de la Fonction publique ont fait le point sur l’agenda social et les discussions en cours.

Si, ensemble, elles se félicitent que la Ministre souligne son attachement à la Fonction publique, à ses valeurs de progrès social, au rôle de ses personnels,

Si elles notent des améliorations dans la qualité du dialogue social, Si elles estiment positives quelques mesures déjà prises comme, par exemple, l’abrogation du décret sur la réorientation professionnelle,

Elles considèrent que sur les enjeux essentiels, aucun début de réponse satisfaisante n’est au rendez-vous. Cela est inacceptable.
- Sur l’emploi, les créations – qui vont dans le bon sens – dans certains secteurs ne sauraient masquer les suppressions qui continuent dans d’autres et la situation alarmante de pans entiers de la Fonction publique.

- Sur les salaires et le pouvoir d’achat, alors que les bas salaires se multiplient (plus d’1 million d’agents aux environs du SMIC), que les déroulements de carrière sont souvent inexistants, que les qualifications ne sont plus reconnues, aucune mesure générale n’est envisagée et, en particulier, la valeur du point est toujours gelée.

- Le jour de carence, mesure inique et inefficace, condamnée par tous les syndicats et le mouvement mutualiste, rejetée par la majorité actuelle lorsqu’elle a été mise en place, n’est toujours pas abrogé. Il est urgent et indispensable de changer de cap ! La crise ne peut pas servir de prétexte pour ne pas répondre aux légitimes revendications des agents publics.

A l’évidence, seule l’intervention des personnels permettra d’obtenir les avancées indispensables sur ces questions majeures. C’est pourquoi, nos organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, ont décidé d’une première étape unitaire de mobilisation dans la Fonction publique. Elles appellent à faire du jeudi 31 janvier une journée nationale d’action. Pour notamment :

- Un moratoire immédiat sur les suppressions d’emplois, et des créations partout où cela est nécessaire

- Conforter et développer la Fonction publique et les services publics

- Une augmentation urgente de la valeur du point d’indice ;

- L’abrogation du jour de carence.

Nous appelons nos organisations à préparer ensemble la mobilisation la plus large possible construite selon des modalités décidées avec les agents (grève, manifestations, rassemblements,…). Une nouvelle réunion unitaire est prévue au niveau national le 9 janvier prochain. Le présent appel constitue une base qui, à cette occasion, pourra permettre un élargissement éventuel à d’autres organisations.

20 décembre 2012

Métropole

 

Métropole de compétitivité ou espace de solidarité

et du « vivre ensemble »

 

Déclaration des Unions départementales des Bouches-du-Rhône

 

Dans la perspective de la venue le 21 décembre prochain de Mme LEBRANCHU Ministre de la Réforme de l’Etat, de la Décentralisation, les Unions Départementales CGT CFDT FSU UNSA Solidaires ont défini une position commune sur la question du projet de métropolisation de l'aire marseillaise.

 

Les Unions Départementales ont la volonté de faire part, d'un point de vue syndical, unitaire, indépendant du patronat et des pouvoirs publics, de leur analyse sur l'organisation d'un territoire regroupant près de deux millions de nos concitoyens et plus de 800 000 emplois dont 60 000 fonctionnaires territoriaux.

 

Les UD s'interrogent sur la méthode utilisée par le gouvernement pour parvenir à un projet conçu par l’État sans la mise en oeuvre d'une large concertation avec les citoyens, les élus, les salariés et leurs organisations syndicales représentatives. De même que pour l'Acte III de la décentralisation, la question essentielle doit être la satisfaction des besoins sociaux et l'égalité d’accès et de traitement sur tout le territoire. Elles considèrent que le statut des agents publics est une garantie pour les usagers et la République.

 

Elles affirment que démocratie sociale et politique sont indispensables pour la défense de l'intérêt général, la promotion des services publics en matière de transports, de formation, de logement, d’urbanisme, de fiscalité, d’environnement et de développement économique.

 

Elles luttent au quotidien pour la solidarité contre la compétition et la mise en concurrence des salariés et des territoires. Elles agissent pour une réelle transparence des prises de décisions contre les politiques affairistes et clientélistes qui ont trop souvent et trop longtemps nui à l'efficacité de l'action publique.

 

La situation du département en termes d'emplois, du nombre de chômeurs, de précaires, d’accroissement des inégalités en appelle à un sursaut de l'action publique, à la coopération et la complémentarité des politiques locales.

 

L'avenir industriel, celui des activités portuaires et maritimes, les conséquences de plusieurs années de RGPP en matière de santé ou d'éducation nécessitent une intervention forte et structurante de l'état en matière d'investissements, d’infrastructures, de services, et de développement économique.

 

Les UD considèrent que toute modalité d’organisation de l’intervention publique dans les territoires ne pourra aboutir avec une logique de diminution directe ou indirecte des moyens publics. Cette organisation nécessite aussi de mener un réel débat sur la fiscalité locale.

 

Elles continueront à débattre avec les salariés et les citoyens sur les enjeux économiques etsociaux afin que les décisions engageant l’avenir soient prises dans le respect de la démocratie et du dialogue social.

 

11 décembre 2012

La lutte continue !!!

Déclassement des travailleurs sociaux, ça suffit !

Agissons pour la reconnaissance des qualifications et la revalorisation salariale !

 

article travail social decembre 2012 6 Déc .pdf

   

C'était avant :

 

 

L'accord sur la réforme de la grille de la Fonction publique du 9 février 1990, dit « accord Durafour », intégrait les professionnels du social et de l'éducatif, diplômés d'état, dans un Classement Indiciaire Intermédiaire – CII -, situé entre la catégorie B et la catégorie A.

 Cette grille, mise en place en 1992, considérée comme transitoire suite aux mobilisations sans précédent des assistants sociaux et éducateurs spécialisés, devait permettre à terme l’accès à la catégorie A.

 

Depuis :

 

Le 21 février 2008, 4 organisations syndicales (CFDT – UNSA – CFTC et CGC) de la fonction publique sur 8, ont signé avec le précédent gouvernement un mauvais accord salarial, entérinant une perte de pouvoir d’achat etincluant le projet de réforme de la catégorie B.  

 Un Nouvel Espace Statutaire (NES) en catégorie B était ainsi crée.

Les projets de décrets de la filière médico-sociale qui en découlent, ont pu être plusieurs fois reportés de l'agenda de l'ancien gouvernement grâce aux importantes mobilisations unitaires des professionnels.

 

Car s'ils devaient être publiés, cela signifierait :

- maintien en catégorie B

- importante régression salariale

- allongement de la durée de carrière

 

 

Présentés par le nouveau gouvernement au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale (CSFPT) du 3 octobre 2012 pour les cadres d'emplois de la filière médico-sociale : Educateurs Spécialisés, Assistants Sociaux, Conseillers en Economie Sociale et Familiale, Educateurs de jeunes Enfants, ces projets ont toutefois reçu un avis défavorable.

 

 

Un vœu du CSFPT demandant au gouvernement l'ouverture de négociations sur cette filière a même été formulé.

 

Maintenant les engagements doivent être tenus :

 Ce dossier doit être étudié le 14 décembre lors de la thématique « parcours professionnels » de l' « agenda social ».

L'actuel Chef de l'Etat, son Premier Ministre, la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, le Ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social et le Président de l'Assemblée nationale soutenaient les revendications des travailleurs sociaux lorsqu'ils étaient dans l'opposition. C’est maintenant le temps des actes.

 

Agissons !

 

Lors des réunions de l'Intersyndicale des 25 octobre et 26 novembre dernier, la FSU, s'est montrée disponible et volontaire pour construire les mobilisations unitaires pour obtenir :

- le reclassement en catégorie A des assistants socio-éducatifs et des éducateurs de jeunes enfants.

- la reconnaissance des qualifications et des responsabilités par une grille indiciaire allant de l'IM 349 à 798.

- l'homologation au niveau II français des Diplômes d'Etat obtenus après 3 ans d'études supérieures.

C'est sur ce socle revendicatif que le

SDU13-FSU continuera d’agir !

 

07 décembre 2012

La FSU

La Fonction publique, une charge ? Non une chance !

Prenez la parole !

Alors que nombre de concertations sont ouvertes, la FSU estime indispensable de donner la parole à tous les agents de la Fonction publique et des services publics.

PNG Il nous revient de dire quelles sont aujourd’hui les priorités pour la Fonction publique et pour les personnels. Comment améliorer le fonctionnement des services ? Comment répondre mieux aux besoins de la population ? Comment améliorer les conditions de travail des personnels ?

Prenez la parole ! En répondant à notre questionnaire, vous apporterez en quelques minutes votre contribution. Elle est précieuse. Elle permettra à la FSU de porter encore plus haut et fort nos exigences pour faire avancer le service public et la Fonction publique !
Télécharger le questionnaire papier
Voir et télécharger les visuels de la campagne

01 décembre 2012

Pétition nationale de la FSU

Augmenter nos salaires :

Une exigence sociale forte et légitime !

Monsieur le Président,
Madame la Ministre de la Fonction Publique,

Les politiques salariales dans la Fonction Publique, passées et actuelles, sont désastreuses. Elles entraînent de jour en jour les agents dans une spirale permanente de dévalorisation et de déclassement salarial, amenant ainsi une part de plus en plus grande d’entre eux dans une situation économique difficile.

Depuis 2000, c’est 13% de pouvoir d’achat perdu. 20% des agents sont payés au SMIC, les qualifications ne sont plus respectées et reconnues ! Et dans le même temps, les politiques indemnitaires ont joué contre l’emploi et les solidarités.

La juste rémunération du travail des agents publics aurait de plus un effet positif sur la relance économique, participerait activement au financement de la protection sociale et apporterait in fine une contribution supplémentaire pour les recettes de l’Etat. L’austérité n’est pas la solution, elle est au contraire un amplificateur de la crise comme le montre l’exemple des pays européens engagés dans cette voie !

Augmenter les salaires dans la Fonction publique, c’est possible mais cela passe par une autre politique fiscale mettant à contribution tous les revenus et visant plus de justice.

C’est pourquoi nous exigeons une mesure générale immédiate, la suppression de la journée de carence et l'ouverture de véritables négociations sur :
1. La revalorisation de la valeur du point d’indice (gelé depuis 3 ans), son indexation sur les prix, des mesures de rattrapage des pertes ;
2. Un salaire minimum à 1600 € net ;
3. La reconstruction de la grille avec en première mesure, une augmentation uniforme de 50 points ; des carrières linéaires déconnectées de l’évaluation et d’un pseudo mérite ;
4. La revalorisation salariale des filières féminisées, bien moins rémunérées ;
5. L’intégration des indemnités dans le salaire sous forme indiciaire.

Signez massivement la pétition en ligne :

http://www.fsu.fr/petitions/?p=3

29 novembre 2012

Action syndicale contre le jour de carence

CGT - FO - CFTC - FSU

 

 

LETTRE OUVERTE

AU PERSONNEL

adressé au Président du Conseil Général 13

 

OBJET :Circulaire ministérielle du 24 février 2012 « journée de carence ».

 

Monsieur le Président,

 

Les organisations syndicales représentatives du personnel du Conseil Général des Bouches du Rhône vous demandent un rendez vous dans un délai raisonnable au sujet de l’application du jour de carence dans notre collectivité.

 

Depuis la Conférence sociale des 9 et 10 juillet derniers, la circulaire ministérielle du 24 février 2012 est en débat au niveau national entre les organisations syndicales de la fonction publique et l’ensemble des employeurs publics.

Actuellement des concertations ont lieu et le devenir de la journée de carence est examiné.

 

Nous vous demandons par la présente la suspension de ce dispositif tant que ces concertations n’ont pas débouché sur une décision définitive.

Nous vous demandons de nous recevoir afin d’aborder cette question.

 

Dans l’attente de ce rendez-vous, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos cordiales salutations.

 

   Cette lettre ouverte sera distribuée Mardi 4 Décembre.

 

courrier jour de carence.pdf

21 novembre 2012

Journée d'action du 21 novembre

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Fête des Droits de l'Enfant

La mobilisation de ce jour a été un succès.

Psychologues, assistantes sociales, éducateurs étaient présent pour soutenir notre action.

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Seul point noir le Président Guérini n'à pas reçu de délégation.

La lutte continue sur les mêmes revendications !!!

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Travailler dans le cadre de la mission Protection de l’Enfance doit rester le choix du professionnel ;

Garantir de pouvoir travailler en binôme et d’inscrire son intervention sur la durée ;

Offrir des espaces de travail nécessaire au travail d’équipe, des temps de formation et de supervision ;

Faire porter l’effort du Département sur une politique ambitieuse de l’accueil  au sens complet du terme tant sur le plan qualitatif que quantitatif ;

Redonner à l’enfant sa place centrale et lui garantir une pérennité d’intervention et une stabilité des référents (projet pour l’enfant, contrat jeune majeur…) ;

Renforcer les équipes affectées à l’accompagnement de l’enfant confié ;

Des conditions de travail décentes respectant l’éthique, l’intégrité physique et morale des professionnels ;

La création de places dédiées à un accueil digne de l’enfant, de ses besoins, de son handicap, de ses difficultés spécifiques ;

L'application stricte des 54 articles de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant.