SNUTER CD 13 FSU

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30 juin 2017

Protection de l'enfance

Bloquons la casse du travail social
et de la protection de l’enfance :
manifestation le mardi 4 juillet à Paris

Nous étions plus de 2500 salariéEs dans les rues d’Angers pour soutenir les collègues du secteur associatif et du Conseil départemental du Maine et Loire qui subissent la mise en concurrence des structures, la fermeture d’institutions et l’amoindrissement de leurs moyens d’action social et éducative.

Aussi, en pièce jointe vous trouverez les documents et éléments concernant la mobilisation et la manifestation du 4 juillet, (à l’occasion des Assises de la Protection de l’Enfance) sur l’initiative conjointe d’une l’Intersyndicale nationale et de collectifs -dont celui du Maine et Loire : les collègues randonnerons au départ de Angers pour se rendre à Paris.

Merci de vos participations, du relai de cette initiative -dont sur vos sites et blogs-, de vos retours de mobilisations et des difficultés rencontrées dans vos départements ou ailleurs sur ce champ.

D’autres initiatives sont en discussion :
- septembre ou octobre, par exemple pour les 1 an et en le "détournant" du décret relatif à l’évaluation de la situation de mineurs à partir d’une information préoccupante, réalisée par une équipe pluridisciplinaire de professionnels.

tract_manif_4_juillet_-_protection_de_l_enfance.pdf

préavis_de_greve_4_juillet_2017.pdf

10 avril 2017

Communiqué de presse et pétition de la FSU Territoriale pour les travailleurs sociaux

CP_SNUTER-FSU_TS_avril-2017-ok.pdf

suite au communiqué de presse, vous trouverez ci-dessous le lien de la pétition de la FSU-Territoriale qui doit être très largement soutenue par vos signatures.

Je signe la pétition nationale :

https://www.petitions24.net/travailleurs_sociaux__bac__3_...

fsu.png

20 mars 2017

La FSU interpelle les candidat-es à l’élection présidentielle

Communiqués

lundi 20 mars 2017
 

La FSU a décidé de s’adresser aujourd’hui aux candidat-es à l’élection présidentielle – excepté au Front National considérant que son programme remet en cause les valeurs de la République et la démocratie - pour leur faire connaître son analyse et ses propositions. Elle les interroge aussi sur nombre de points et particulièrement sur le projet de chacun et chacune concernant particulièrement la Fonction publique et ses agents.

Il n’a pas échappé à la FSU que la Fonction publique faisait l’objet de débats dans cette campagne. Et certains programmes inscrivant prioritairement la réduction du nombre d’agents et la limitation des services offerts aux usagers ne manquent pas de l’inquiéter.
La FSU souhaite la clarté et considère que les agents doivent connaître l’avenir qui leur est promis par les un-es et les autres.

Pour sa part, la FSU est profondément convaincue que la Fonction publique est un atout pour le pays ! Aujourd’hui, la Fonction publique c’est plus de cinq millions d’agents dans l’hospitalière, la territoriale et l’État, sur l’ensemble du territoire. Dans chacun de ces trois versants, ils assurent aux citoyen-ne-s la permanence, la proximité, l’accessibilité du service public, dans des conditions parfois difficiles. Cette incroyable capacité d’engagement de ses personnels, cette adaptabilité inscrite dans l’ADN de la Fonction publique et sa capacité à assurer la permanence et la continuité du service public en font un levier essentiel pour toute la société pour relever les défis comme pour répondre aux besoins de la population sur l’ensemble du territoire.

Retrouvez ci-dessous les documents de la conférence de presse.

1617_053_courrier_candidats_election_presidentielle.pdf

27 février 2017

Egalité Femmes/Hommes

GAGNONS L’ÉGALITÉ FEMMES/HOMMES DANS LA FONCTION PUBLIQUE

TOUTES ET TOUS DANS L’ACTION LE 8 MARS 2017

Nous appelons les personnels à faire du 8 mars une journée d’interventions et d’actions sur les lieux de travail pour les droits des femmes. (Lire en pj le communiqué intersyndical).

2017_03_08_appel_unitaire.pdf

13 février 2017

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA FSU SUR LE PPCR

PPCR : la FSU vigilante !

Comme elle s’y était engagée en signant le protocole dit « PPCR » (Parcours Professionnels Carrières et Rémunérations) dans la Fonction publique, la FSU reste très vigilante et agit en permanence sur sa mise en œuvre pour que les avancées soient les plus favorables aux agents.

Dans le cadre des effets sur la rémunération de la mise en œuvre des mesures PPCR, la FSU avait sollicité dans les derniers mois la ministre de la Fonction publique sur la question de la prime spéciale d’installation (PSI) et sur le seuil de déclenchement de la contribution exceptionnelle de solidarité (CES). En effet, des agents se voyaient écartés de la PSI, d’autres se retrouvaient en situation de devoir contribuer à une nouvelle cotisation.

Cela produisait des pertes de salaires nets, ce qui était inacceptable.

Suite aux versements des payes de janvier, la FSU est ré-intervenue pour signaler tous les problèmes.

La ministre de la Fonction publique vient de répondre à la FSU pour l’informer de la décision du gouvernement « de relever le seuil de la PSI ainsi que celui de la CES » comme de celui « en dessous duquel les agents peuvent bénéficier d’une subvention pour leur repas ».

La FSU se félicite de cette réponse de la Ministre.

Grâce à l’intervention de la FSU, ces questions sont réglées favorablement pour les agents.

La FSU maintient sa vigilance sur le suivi de la mise en œuvre du protocole soucieuse qu’aucune question ne reste sans réponse.

Elle agira chaque fois et poursuivra ses interventions pour que les mesures découlant de « PPCR » soient bien un gain pour toutes et tous les agents.

C’est le sens de son engagement.

C’est par exemple le sens de ses interventions pour les travailleurs sociaux dont les discussions ont lieu en ce moment.

lettre_ministre_fp_a_bg.pdf

25 novembre 2016

Calendrier d'actions FSU - CGT

Les Agents de la DGAS réunis nombreux annoncent le calendrier d’actions à venir !

Les Assemblées générales des 18 et 20 octobre 2016 ont réuni à Marseille les agents de l’Insertion, de la DITAS et de l’Enfance Famille.

Consultez le tract :

Tract DGAS 2 suite aux Ag des 18 et 20 octobre 2016.pdf

 

La FSU et la CGT écrivent à Mme VASSAL

Lettre Ouverte à Madame la Présidente du Conseil départemental des Bouches du Rhône

À l’occasion du 27ème anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : les professionnels en charge de l’Enfance en danger s’adressent à vous !

Les personnels de Cohésion Sociale, de Protection de l’Enfance comme de la Protection Maternelle et Infantile se mobilisent de nouveau pour que vous entendiez l’urgence à agir dans l’intérêt premier des enfants confiés à notre département.

En effet depuis votre élection à la tête de la Collectivité, vous vous exprimez régulièrement sur « les enjeux économiques de la Provence », sur « la dynamique de l’Accélérateur de l’emploi », sur les transports, l’emploi, sur « le Département qui s’engage… »… ?

Cependant, la Mission protection de l’Enfance comme celle de prévention bien que compétences obligatoires du Conseil Départemental, restent absentes des discours médiatisés et des préoccupations énoncées ! Elles sont oubliées et malmenées par notre collectivité !

A l’occasion de la Journée Internationale des Droits de l’Enfant, nos syndicats vous rappellent que sur le terrain les équipes, s’épuisent à défendre des moyens pour continuer à œuvrer dans l’intérêt des enfants.

Nous, agents du département revendiquons une politique de l’Enfance ambitieuse et innovante qui prenne en compte les besoins et l’intérêt premier des enfants et non pas seulement l’intégration des contraintes budgétaires !

Ils exigent avec leurs organisations syndicales:

  • un repositionnement fort du Conseil Départemental comme chef de file et donneur d’ordre à l’endroit de certains partenaires, en particulier la DIMEF, qui refuse les adolescents en rupture de placements et décide seule…
  • Des moyens pour des placements adaptés: création de places spécifiques dédiées aux enfants ou adolescents en grande vulnérabilité, en rupture forte et en échec de placement, présentant des troubles graves du comportement… les structures ouvertes récemment ne permettent toujours pas de répondre à tous les besoins. Pas assez non plus de places de soin dans les hôpitaux spécialisés pour les adolescents en grande souffrance !
  • Le Remplacement urgent des postes vacants en équipe enfance (agents et Adjoints Enfance/Famille) et le Renforcement du nombre de travailleurs sociaux et de psychologues affectés en Enfance Famille dans les MDS.
  • De véritables moyens (locaux, personnels, formation) pour la mise en œuvre des visites médiatisées sur les MDS car c’est un outil indispensable dans l’évaluation de la nature du lien d’attachement du parent à son enfant, dans la protection et l’accompagnement de l’enfant et de sa famille….
  • La prise en compte des jeunes majeurs avec le maintien du suivi par un travailleur social.
  • La mise en place pour toutes les équipes travaillant en Enfance-Famille, des formations d’analyse de pratiques et/ou de supervision sur le placement familial, sur le placement des enfants.
  • L’arrêt des changements systématiques des référents dès lors que l’autorité parentale change de domiciliation, dans le respect du parcours sécurisé de l’Enfant, tel que la loi de mars 2016 le réaffirme.

Encore aujourd’hui, à l’occasion de la présentation de la journée des droits de l’Enfant, les agents exerçant les missions de prévention et de protection de l’Enfance et leurs organisations syndicales revendiquent des moyens et le respect de leurs techniques d’intervention dans l’intérêt supérieur de l’enfant.

La situation est aujourd’hui trop grave pour continuer a être ignorée, nous sollicitons une Rendez-vous afin de vous exposer l’ampleur des difficultés et échanger sur nos propositions et revendications.

Dans cette attente nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, nos respectueuses salutations.

V.MARQUE                                                                                                              C.AMOROS

Syndicat CGT                                                                                                         Syndicat FSU

21 mars 2016

Salaires de la fonction publique

160322 tract fsu13.pdf 

1,2 % d’augmentation du point d'indice au bout d’un an !

Insuffisant pour rattraper notre pouvoir d'achat !

Un travail mal reconnu, de nombreux agents en difficulté pour en vivre décemment, une situation néfaste pour le Service Public, en termes de reconnaissance sociale, d'image et d'attractivité... ce sont des conséquences de la politique de gel de la valeur du point d’indice pendant plus de 6 ans.

Pourtant, l’engagement des fonctionnaires est sans faille pour permettre aux services publics de réaliser ses missions dans notre pays.

La FSU n'a eu de cesse, avec d'autres organisations syndicales, d'informer, de mobiliser et de se battre pour être entendue sur la question salariale dans la Fonction publique.

La décision du gouvernement de dégeler la valeur du point d’indice et de le revaloriser est un premier résultat, très insuffisant, de ces multiples mobilisations.

Après six années de gel de la valeur du point d’indice, ce rendez-vous salarial d'aujourd'hui est capital.

La FSU, qui a défendu dans les négociations « Parcours Professionnels, Carrières et Rémunérations » une approche combinant la revalorisation de la grille et celle de la valeur du point d’indice, a obtenu que ce rendez-vous, du premier trimestre 2016, pour traiter de la « revalorisation du point ».

La réponse du gouvernement est tardive pour de nombreux agents qui vivent avec difficultés qui ne cessent de s’accumuler. Les agents de la Fonction publique ont perdu de 7 à 8 % de leur pouvoir d'achat depuis 2010 : une baisse du salaire moyen net de 1,5 % (en euros constants chaque année depuis 2011 - source INSEE).

Pour la FSU, la décision d’en finir avec le gel de la valeur du point d’indice est un signal positif, pour les plus de 5 millions d’agents, qui ne peut être qu’un premier pas.

L'annonce gouvernementale d’une progression 1,2 % en deux fois (0,6 % au 1er juillet 2016 et 0,6 % au 1er février 2017) marque une première étape pour récupérer les pertes de ces 6 années de gel du point d’indice.

Cette revalorisation est loin d’être suffisante pour répondre aux attentes des agents.

Pour exiger, dès maintenant, l'élaboration d'un réel plan de rattrapage, la FSU appelle les agents à exprimer cette revendication le 22 mars.

La FSU 13 et tous ses syndicats appellent à un rassemblement

Mardi 22 Mars, de 12 h à 14 h à Marseille devant la Préfecture

15 janvier 2016

Le 26 Janvier les fonctionnaires seront en grèves pour les salaires et le pouvoir d'achat.

SE MOBILISER POUR LES SALAIRES ET LE POUVOIR D'ACHAT 

Le SNUTER FSU a débattu de la situation sociale et en particulier de la question des salaires et du pouvoir d'achat des agents territoriaux.

Dans la continuité de la motion revendicative adoptée à son congrès de Gémenos (13) le 4 décembre 2015, ils s'inquiètent d'une forte dégradation de la situation sociale dans notre pays avec une augmentation continue du nombre de chômeurs, du nombre de familles en grande difficulté, la paupérisation toujours plus importante des jeunes mais aussi des retraités, une augmentation de la précarité essentiellement due aux attaques et remises en cause des acquis et droits sociaux.

Compte tenu de la faiblesse de leurs traitements, les agents de la FPT, sont également touchés par cette situation : 18 % de perte de pouvoir d’achat depuis 2000 : c’est l’équivalent de près de deux mois de perte de salaire. Les agents du secteur public ne doivent pas être les victimes des orientations libérales du gouvernement ni servir de variable d’ajustement aux choix budgétaires des employeurs publics y compris territoriaux. Sortir de la crise, c’est aussi relancer le pouvoir d’achat par l'augmentation des salaires et renforcer les services publics.

La FSU a exigé qu’un rendez-vous salarial se tienne le plus tôt possible en 2016 pour obtenir le dégel de la valeur du point d'indice. Celui-ci se tiendra vraisemblablement en février.

Le 26 janvier 2016, une journée d’actions, de grèves et de manifestations est annoncée par plusieurs organisations syndicales de la fonction publique, entre autre sur la question salariale. La situation du 26 janvier est  compliquée et le SNUTER ne méconnait pas le contexte syndical dans lequel s'inscrit cette journée de mobilisations en particulier pour le second degré.

Pourtant, dans la FPT, il faut se mobiliser sur la question du pouvoir d'achat.

Pour le SNUTER, cette journée est un premier rendez-vous de mobilisations pour peser sur les négociations qui vont s’ouvrir dans les semaines qui viennent. Le SNUTER-FSU appelle en conséquence tous les personnels à se mobiliser, par la grève, en rejoignant et en participant aux initiatives et manifestations et pour porter l’exigence que plus de 5 années de gel de valeur du point d’indice, ça SUFFIT !

En conséquence le SNUTER-FSU déposera un préavis de grève pour la journée du 26 janvier 2016 et appelle les agents territoriaux et ses adhérent-es à se mobiliser et à participer aux initiatives locales organisées pour l'augmentation des salaires et du pouvoir d'achat dans la fonction publique.

Un tract d’appel sera distribué aux personnels pour la grève interprofessionnelle

FSU – CGT – SOLIDAIRES du Mardi 26 Janvier 2016

28 septembre 2015

Le 8 octobre la fonction publique se mobilise !

Le 8 octobre 2015, La Fonction publique se mobilise Pour les salaires, pour l’emploi Pour les conditions de travail ! Les syndicats de la Fonction publique (CGT – FSU – SOLIDAIRES – FAFP) appellent l’ensemble des agents de la Fonction publique à se mobiliser avec les salarié-es du secteur privé, dans l’action interprofessionnelle du 8 octobre 2015.

 

Ensemble pour les salaires !

Oui, sur le pouvoir d’achat, la Fonction publique est bien pénalisée par les politiques austéritaires, après plus de cinq ans de gel de la valeur du point d’indice !
Ces pertes de pouvoir d’achat, inédites pour tous les agents des trois versants de la Fonction publique, et ce quelle que soit leur catégorie, ont même des effets de paupérisation pour nombre d’entre eux qui s’ajoutent à un sentiment de déclassement.
Il est donc légitime de revendiquer un rattrapage des pertes subies par l’octroi de points d’indice pour tous, et d’exiger l’ouverture de négociations salariales immédiates pour enfin mettre un terme au gel de la valeur du point d’indice.

Ensemble pour l’emploi !

Les cadrages budgétaires pour l’année 2016 confirment la poursuite des suppressions d’emplois dans un grand nombre de secteurs de la Fonction publique. Hormis les administrations définies comme prioritaires, les suppressions de postes s’aggravent. De ce fait, l’exercice de missions publiques est mis à mal, la précarité des non-titulaires perdure et les conditions de travail des agents se dégradent. En ce début d’automne, les projets de budgets 2016 de l’Etat, des collectivités territoriales ou encore de la Sécurité sociale seront des indicateurs forts et une étape sur laquelle nous devons peser par la mobilisation.
Nous revendiquons la fin des suppressions d’emplois et les créations dans les meilleurs délais des emplois statutaires nécessaires pour répondre aux besoins de la population sur l’ensemble du territoire.

Ensemble pour les services publics !

Nous exigeons des services publics de qualité répondant aux besoins des usagers sur l’ensemble du territoire.
Les réformes territoriales ne seront pas sans conséquences négatives pour les personnels en termes de mobilité, de suppressions d’emplois, de transferts de missions et de dégradation des conditions de travail.
Le projet de loi santé est également porteur de graves menaces sur la qualité du service public.

Ensemble avec tous les salariés-e-s !

Enfin, comment ne pas se sentir directement concernés par les attaques contre les 35 heures, les projets inacceptables de remise en cause des garanties du Code du travail… ?

Les organisations syndicales (CGT – FSU – SOLIDAIRES – FAPP) considèrent que les personnels de la Fonction publique doivent construire ensemble les conditions de la réussite d’une mobilisation qui doit marquer un coup d’arrêt à cette politique de régression sociale.

Non, l’austérité ne passera pas par nous !
Le 8 octobre 2015,
Mobilisons-nous sous toutes les formes appropriées :
Grèves, manifestations, rassemblements !
Paris, le 21 septembre 2015