SNUTER CD 13 FSU

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08 mars 2012

Collège

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 Agents des collèges 

La collectivité a entrepris la démarche avec l’appui du groupe PREVIA (prestataire extérieur qui possède l’expertise de réhabilitation socioprofessionnelle) de mener des actions pour le retour à l’emploi sur le même poste des agents en arrêt de travail de longue durée et/ou chronique. Les objectifs sont de diminuer le nombre d’arrêts de travail pour les agents des collèges.

 

La collectivité connait les raisons de l’absentéisme mais n’envisage pas d’y remédier.

 

Nous avons donc réaffirmer que le manque de personnels (4 en moyenne par collège) était un des motifs de l’absentéisme et en conséquence d’une souffrance au travail.

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Compte-rendu du CHS du 15 décembre 2011

 

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L’ordre du jour de ce CHS concernait le déménagement des agents de la DGAS sur le site d’ARENC. Nous avions demandé la mise à l’ordre du jour de ce point suite aux deux assemblées générales organisées sur le site à la demande du personnel. Le CHS plénier du 15 décembre a été aussi le moment de faire le point sur la médecine du travail et sur les agents des collèges. Les délégués de la FSU ont fait entendre leur voix pour défendre vos intérêts.   

 

ARENC

La FSU a fait le choix de faire sur ce point une déclaration de principe pour des raisons de lisibilité et cela ne nous a pas empêché d’intervenir sur toutes les questions mises en débat.

 

Même si nous avions voté pour ce déménagement au CTP du 23 juin 2010, du fait que la collectivité avait accepté l’abandon du système open space, beaucoup d’autres problèmes avaient été évoqués par les organisations syndicales et notamment la FSU.

 

L’administration semblait alors consciente des difficultés entrainées par ce déménagement (répartition des bureaux, poids des armoires, confidentialité, accueil des publics, etc...). Tout n’a pas été réglé.

 

De plus, les travaux extérieurs, loin d’être terminés, obligent encore les agents et les usagers qui doivent se rendre sur le site, à effectuer un parcours du combattant. Cet été le personnel a eu à supporter de graves problème d’hygiène (puces sur le mobilier) et des températures très élevées dues aux défaillances techniques du système de climatisation.

A cela venait s’ajouter l’angoisse et le stress pour nombreux agents qui étaient en poste sur l’Hôtel du Département depuis 1995.

 

Lors du CTP du 23 Juin 2010, la collectivité s’était engagée à ce que ce déménagement ne s’effectue pas dans l’urgence et devait mettre tout en œuvre pour réduire l’impact des problèmes évoqués. 

 

Le CHS plénier était donc l’occasion de faire le point sur la situation et d’avoir des réponses concrètes.

 

Le débat à bien eu lieu et « coups de chapeau » à la DRH et aux Techniciens qui trouvent des solutions. Cependant pour la FSU, malgré tout le modernisme et l’apparat, ce bâtiment n’est pas adapté aux missions de service public qu’y sont affectées notamment en terme de condition d’accueil des usagers.

 

11:41 Publié dans DGAS | Lien permanent | Commentaires (0)

Les MDS et la réorganisation

 

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La réorganisation de la DGAS, deux ans après le CTP d’octobre 2009 (rappelons que nous  n’avons pas voté ce projet) se met en place avec bien des difficultés.

Cette réorganisation avait pour but d’absorber les taches nouvelles imposées par la loi de 2007, c'est-à-dire essentiellement les informations préoccupantes et la prévention. A cela suite au choix du Conseil Général 13 de fermer la maison de l’adoption, les enquêtes et les suivis se sont rajoutés.

Que disent et ressentent les agents travaillant en MDS ?

Les personnels témoignent de charges de travail et de pressions qui rendent de plus en plus, difficile un travail de qualité.

Avec des effectifs qui dans bien des lieux se révèlent insuffisants. Dans plusieurs MDS, comme à BOUES ou aux FLAMANTS le manque de personnels criant a mobilisé durant cette année 2011, les personnels avec l’intersyndicale, ont pu obtenir les postes nécessaires.

Les missions sont-elles mieux remplies ?

Dans une  organisation qui privilégie la réponse à l’urgence, les missions de protection sont sur certaines MDS reléguées au second plan. La FSU affirme que les missions de protection nécessitent une disponibilité, une inscription dans le temps qui n’est pas compatible avec le traitement en urgence des informations préoccupantes. Ces deux missions (protection et traitement des informations préoccupantes) ne doivent pas être effectuées par les mêmes agents.

La mission PMI au croisement du sanitaire et du social, subit des attaques, la tentation d’assujettir la prévention en santé à l’urgence sociale est forte !

Les personnels chargés de l’accueil, témoignent de pressions  de plus en plus fortes de la part des usagers du fait de la crise mais aussi des exigences de l’institution, sur des procédures et des systèmes qui rigidifient sans apporter plus d’efficacité.

Les personnels sont venus témoigner au cours des Assemblées Générales organisées en intersyndicale FSU-CGT : des moyens quasiment constants, dela tendance à gommer les métiers pour introduire une polyvalence, un encadrement qui utilise par endroits des méthodes peu compatibles avec un travail d’équipe, de collaboration et de confiance, du manque de soutien technique grand oublié dans cette réorganisation. Une plateforme revendicative a été élaborée, regroupant tous les aspects des missions de la DGAS.

La FSU avec la CGT n’a eu de cesse d’interpeller les politiques en charge des dossiers DGAS pour ouvrir des discussions sur ces différents points.

Finalement, nous avons été entendus, puisque M. Amiel chargé de la PMI, de la Santé Publique et de la Protection de l’Enfance, Mme Narducci chargée de l’Insertion Sociale, Mme Garcia chargée des Personnels acceptent de  recevoir les organisations syndicales le 24 janvier 2012.

La FSU sera présente pour porter les revendications des personnels. Une rencontre ne suffira pas, nous souhaitons que les politiques et l’administration prennent tout le temps nécessaire afin de poser les problèmes, et d’apporter des solutions pour les professionnels mais aussi et surtout dans le but d’améliorer le service public.

 

11:29 Publié dans DGAS | Lien permanent | Commentaires (0)

PUZZLE 2012

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PUZZLE général 2012.pdf

Janvier 2012

EDITO

Cette année devrait être l’année du changement au plus au niveau de l’Etat. Sans faire de vœux précis ou partisans, engageons nous pour qu’enfin le service public re-devienne le centre d’intérêt du prochain gouvernement. Et ici au Conseil Général 13 pour nous l’augmentation du pouvoir d’achat est au centre de nos revendications.

Nous demandons :

1°) des ratios d’avancements de grade à 100 %,

2°) la revalorisation de tous les régimes indemnitaires en favorisant plus particulièrement celui des catégories C, 

3°) la prise en charge de nos mutuelles à hauteur de 25%.

4°) L’augmentation des tickets restaurant.

Concernant les conditions de travail elles sont très nettement améliorables. Pour la FSU c’est un enjeu important et nous continuerons de nous investir dans les secteurs concernés par ces problèmes.

Toutes ces revendications sont légitimes et leur aboutissement relève d’une volonté politique...

Parce que nous savons que le Père Noël n’existe pas, la vigilance et l’action syndicale doivent prendre toute leur place.

L ‘équipe du SDU 13 vous souhaite à tous une bonne et heureuse année 2012.

Prime de Fonctions et de Résultats

La DRH nous a présenté le 14 décembre 2011 le dossier de la Prime de Fonctions et de Résultats.

Qu’est ce que la prime de fonctions et de résultats  ?

Cette prime est prévue pour les agents de catégorie A de la filière administrative.

La PFR se décompose en deux parts cumulables : Une part liée à la fonction ayant vocation à être stable. Et une part liée aux résultats pouvant faire l’objet d’une modulation chaque année.

Il y aura 6 niveaux de classification au lieu de 4 aujourd’hui. L’enveloppe globale serait augmentée d’environ 150 000 . Dès son adoption lors du BP 2012, la PFR se substituera au régime indemnitaire actuel et se traduira par une modification des montants versés. Le versement mensuel de la part « fonctions » sera versé en Mai avec effet rétroactif au 1er Avril. Le versement de la part « résultats » s’effectuera en Février 2013.

Nous avons rappelé que la FSU avait voté contre l’instauration de cette prime lors de la présentation de ce dossier au  Conseil Supérieur de la Fonction Publique d’Etat. Nous sommes opposés à l’individualisation des salaires dans la fonction publique et nous sommes opposés au fait que le critère « manière de servir », critère très subjectif, prenne une place de plus en plus importante dans la carrière des agents.

Pour nous ce dossier doit faire l’objet d’un débat en CTP dans le cadre de ce que prévoit l’article 33 de la Loi du 26 janvier 1984 modifié par la Loi du 5 juillet 2010 sur les grandes orientations en matière de politique indemnitaire et de critères de répartition des primes et des régimes indemnitaires. Nous attendons ce rendez-vous…..

Le personnel des collèges (très) en colère !

Le personnel des collèges du CG 13 soutenus par les syndicats FSU (SDU13 et Unatos) et CGT étaient en grève le Jeudi 17 Novembre.

Lors des rendez vous dans le cadre du préavis de grève, l’administration du  Conseil Général 13 nous avait dit être tout à fait consciente des problèmes qu’ils rencontraient, mais ne voulait absolument pas se donner les moyens d’y remédier, il se borne à désigner l’Etat comme seul responsable de la dégradation des conditions de travail dans les collèges du département. Pour nous cette position est inadmissible.  

Les syndicats appelaient les agents des collèges à se mobiliser massivement pour obtenir de la part de leur employeur des créations d’emplois, des conditions de travail décentes, l’augmentation de l’Indemnité Administrative et Technique et un déroulement de carrière linéaire dans le cadre d’un dialogue social rénové et constructif.

Nous avons donné rendez vous aux agents sur le parvis de l’Hôtel du département. Ce sont plus de 500 agents sur les 1300 qui se sont déplacés pour crier leur colère. Une pétition était aussi proposée aux agents et plus de 800 agents l’ont signée.

Le 17 Novembre au cours de la rencontre avec l’administration nous avons obtenu des réunions de travail sur la précarité, la mobilité et sur les fonctions de cuisinier. Cela n’est pas suffisant bien entendu. Le combat continue et nous devrions organiser dans le courant du premier trimestre des assemblées générales pour programmer une nouvelle journée d’action. Preuve des difficultés d’avoir un vrai dialogue social dans la collectivité, nous attendons toujours une réponse à notre demande de rendez-vous au Président pour lui remettre les 800 et quelques signatures de pétition.

 

Des nouvelles de Philip SION Ingénieur informatique à la DSIT

 

Ce PUZZLE est pour nous l’occasion de donner des nouvelles de Philip SION, ingénieur informatique à la DSIT qui faisait l’objet d’une procédure de révocation suite à la création de WIKILEAKS 13. Le référé qui avait été déposé au Tribunal Administratif de Marseille contre cette sanction a été entendu par le juge. En effet, l’ordonnance du 6 octobre ordonne au CG 13 la suspension de l’exécution de la décision de révocation. Notre collègue a donc été réintégré dans ses droits et dans les effectifs de la collectivité. La FSU s’était engagée à défendre cet agent afin qu’il puisse faire valoir ses droits. Objectif atteint.

 

11:26 Publié dans PUZZLE | Lien permanent | Commentaires (0)

Mobilité DGAS

  Marseille, le 6 septembre 2011 

Lettre ouverte au DRH

 

 

Monsieur le Directeur,

 

Notre syndicat est régulièrement interpellé par des agents de MDS au sujet des mobilités au sein de la Direction Générale Adjointe de la Solidarité.

 

Leurs interrogations nous amènent aujourd’hui à vous poser plusieurs questions :

 

·                    Comment se fait-il qu’une « mutation » entre MDS de proximité et MDS de territoire, sur le même type de poste, passe par la commission de mobilité ?

La gestion du personnel dépendant du même encadrement, ceci nous parait en totale contradiction avec le sens même de la qualification de « proximité »… à moins que les MDS de proximité ne soient devenues des MDS de plein exercice…

·                    Dans le cadre des mobilités, les directeurs de MDS sont maintenant amenés à donner un avis sur les candidats. Quel est le poids de cet avis face aux critères objectifs des points, officiellement retenu par la commission de mobilité ?

·                    Quel est le sens d’un entretien entre le candidat et le directeur, surtout quand celui-ci a lieu après la commission de mobilité, comme ce fut le cas dans une MDS récemment ? Quel respect est alors accordé à la démarche du candidat ?

·                    Quelle est la pertinence de l’avis d’un directeur lorsqu’il reçoit seul des personnels sans adjoint technique social ou médical, voire, quand l’entretien se contente d’être téléphonique ?

·                    La DRH s’assure-t-elle que, conformément à ce qui est énoncé dans Le guide de la Mobilité, la « règle des 3 ans » ne soit pas opposée à un agent en l’absence de toute autre candidature interne ?

 

Plusieurs exemples nous ont amené à nous interroger sur la connaissance que certains directeurs de MDS ont des procédures. La mobilité reste un sujet sensible pour les personnels. Le manque de transparence et de visibilité sur cette question ne fait qu’accroitre l’incompréhension et générer un sentiment de défiance chez les agents.

En conséquence, notre syndicat réitère la demande d’une réunion sur les critères de mobilité, les procédures et les recours éventuels.

 

Dans l’attente nous vous prions d’agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de nos respectueuses salutations.

                                                           Pour la FSU

                                                                                                          Bruno BIDET

Qiétude 13

 

Marseille, le 28 juin 2011

 

Lettre ouverte

 

à

 

Monsieur Jean Noël GUÉRINI

 

Président du Conseil Général

 

des Bouches-du-Rhône

 

Monsieur le Président,

 

Vous avez présidé le Comité Technique Paritaire le 10 mai 2011. À cette occa-sion vous avez réaffirmé votre volonté de maintenir, pour vos agents, tous les avantages acquis et préserver, pour les usagers du département, un service public de qualité envers et contre tout.

 

Aujourd’hui vous fermez une fois de plus un service dont les missions sont obli-gatoires.

 

En effet, après les psychologues du service des adoptions, les consultations de médecine préventives des agents des collèges, c’est au tour du service de pla-teforme téléphonique Quiétude 13, concernant les personnes âgées du dépar-tement, d’être privatisé.

 

L’ensemble des organisations syndicales de la Collectivité refuse cette politique de privatisation que vous mettez en place et qui est en contradiction avec les propos que vous tenez à chacune de vos interventions publiques.

 

Le « nouveau cru » aurait il déjà un goût de vinaigre ?

 

Le personnel et leurs organisations syndicales vous demandent de re-venir sur votre décision et de mettre les moyens nécessaires pour un bon fonctionnement des services publics.

 

Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de nos saluta-tions distinguées.

 

Jour de carence

 

JOUR DE CARENCE DANS LA FONCTION PUBLIQUE

 

UNE MESURE INIQUE ET INEFFICACE

Le SDU13- FSU condamne l'instauration d'un jour de carence dans la Fonction Publique à compter du 1er janvier 2012.

Nous ne comprenons pas la précipitation avec laquelle certains employeurs territoriaux se saisissent de cette question pour l'appliquer aussi rapidement alors que des élus de la représentation nationale sont opposés tant à l’ssemblée Nationale qu’u Sénat qui a, en ce qui le concerne, rejeté le texte de loi.

Politiquement cette mesure est inacceptable : elle est inique, inefficace et imbécile.

‐ C’est une nouvelle attaque contre la protection sociale annoncée par le gouvernement dans le cadre d'un nouveau plan de rigueur. C'est une mesure essentiellement électoraliste visant à stigmatiser les fonctionnaires. C'est oublier que 75 % des salariés du secteur privé ne sont pas pénalisés par les jours de carence qui sont couverts par les conventions collectives et pris en charge par les employeurs. De plus cette mesure est inefficace sur le plan économique. En effet les retenues sur le salaire des fonctionnaires des 3 fonctions publiques ne seront même pas reversées au budget de la sécurité sociale, au contraire moins de salaire génèrera moins de cotisations sociales, donc moins de moyens pour la protection sociale.

‐ Cette décision unilatérale et autoritaire, instaurée sans concertation par l'article 105 de la loi de finance de décembre 2011, est en totale contradiction totale avec l'art 57 de la loi du 26 janvier 1984 régissant le statut des fonctionnaires qui dispose que les agents conservent l'intégralité de leur traitement pour 3 mois et un demi‐traitement pendant 9 mois en cas de maladie ordinaire. En l'absence de toute clarification juridique une circulaire d'application est attendue. Des recours au Tribunal Administratif vont être effectués, il n'y a donc aucune urgence à appliquer une disposition adoptée dans la précipitation et en l’bsence de toute concertation pourtant prévue par les accords de Bercy sur la rénovation du dialogue social dans la fonction publique.

Ainsi, la FSU s'est élevée contre le fait qu’ne nouvelle fois le gouvernement  s’attaque directement au statut général de la fonction publique en modifiant la loi sans demander l'avis d'un Conseil Supérieur (État, Hospitalier, Territorial) ou du Conseil Commun pour les 3 fonctions publiques, qu'il vient pourtant d'installer fin janvier 2012, s’exonérant ainsi du minimum de dialogue social réglementaire avec les organisations syndicales représentant les personnels.

C’est également pourquoi nous demandons aux collectivités territoriales de surseoir à toute décision qui pénaliserait financièrement les agents qui bénéficient d’un congé de maladie.

ASSISTANT FAMILIAL : UN METIER ?

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ASSISTANT FAMILIAL : UN METIER ?

La question en effet, mérite d’être posée !

Les assistants  familiaux  employés au Conseil Général 13 remplissent une mission essentielle dans le dispositif   de  la Protection  de  l’Enfance,  accueillant   à  leur  domicile  les mineurs et majeurs confiés.

Malgré  des  avancées  au  cours  des  dernières  années  sur  le  plan  législatif :

reconnaissance professionnelle, diplôme d’état, intégration dans les équipes enfance prévue dans la loi.

Des avancées au plan local : revalorisation  salariale, accès  aux  œuvres  sociales, participation à des réunions de travail, etc…

Bien du chemin reste à parcourir !!! 

Ce métier reste encore précaire, mal connu, et mal reconnu.

· Précaire  parce  que le salaire peut fluctuer de façon importante d’un mois sur l’autre.

· Mal reconnu  parce  que l’accès aux MDS et autres bâtiments reste difficile, parce que  les droits  tardent  à  se  mettre  en  place :  médecine  du travail, plan de formation, etc…

· Mal reconnu  parce  que la parole de l’assistant  familial n’est  pas  toujours  prise en compte, encore trop de décisions  concernant les enfants accueillis se prennent en dehors de l’assistant familial.

Le SDU13-FSU demande pour les assistants familiaux une reconnaissance de l’employeur, qui se concrétise par des avancées visibles.

Nous revendiquons :

La revalorisation de l’indemnité d’attente à hauteur d’un salaire pour l’accueil d’un enfant (actuellement 2,8h de SMIC par jour).

 L’attribution de la prime de fin d’année, comme pour l’ensemble des agents du CG 13.

 La confirmation par l’employeur de la participation à la mutuelle comme pour l’ensemble des agents du CG 13.

Un badge professionnel pour accéder aux locaux et mise à disposition dans les MDS de lieu spécifique (bureau, accès à un ordinateur, etc…)

La reconnaissance de leur place dans l’équipe enfance par la participation aux synthèses, un réel soutien pour les difficultés liées à l’accueil d’enfants.

 La compréhension et l’acceptation de l’assistant familial, dans sa singularité et sa différence, dans tout ce qu’il peut offrir à l’enfant avec sa famille. Ceci dans des lieux de réflexion et de travail en commun.

Pour avancer ensemble, faisons-nous entendre !

  

Mutuelle où en sommes nous ?

Mutuelles et protection sociale

La participation de l’employeur

est enfin possible !

Le décret n°2011-1474 du 8 novembre dernier, finalise le dispositif juridique encadrant la participation financière de l’employeur à la protection sociale de ses agents.

Quel processus de mise en œuvre ?

Deux procédures alternatives et complémentaires permettent aux collectivités de participer à la protection sociale complémentaire de leurs agents :

· Soit une convention de participation conclue, à titre exclusif entre un organisme et la collectivité après un appel à la concurrence.

· Soit un mécanisme de labellisation au niveau national de contrats d’assurance ou de règlement mutualistes existants sous la responsabilité de prestataires habilitées.

Au Conseil Général 13 lors de la réunion du 25 mai 2011 avec l’administration, la FSU a exprimé comme l’ensemble des syndicats le choix de la labellisation. Ce qui a été validé.

Pour la FSU la labellisation est plus adaptée à la multiplicité. C’est un système plus simple et pleinement solidaire. La labellisation rejoint également les attentes des agents. Une grande majorité veulent pouvoir choisir librement leur complémentaire santé.

Labellisation mode d’emploi

L’entrée en vigueur des dispositions de participation se fera dans un laps de temps qui ne devra pas dépasser 9 mois précise le décret (Août 2012).

· La labellisation est une procédure simple pour l’employeur, il n’y a pas d’appel à concurrence et pas de cahier des charges. Il délibère sur le montant de sa participation (en euros).

· Chaque agent choisit librement la protection qui lui convient le mieux, parmi les garanties labellisées au niveau national.

· Pour bénéficier de la participation mise en place au CG 13 il faudra que l’agent présente une attestation d’adhésion à des garanties labellisées.

La collectivité pourra apporter sa participation :

· Soit au titre des risques « santé », portant atteinte à l’intégrité physique de la personne et des risques liés à la maternité.

· Soit au titre des risques « prévoyance » incapacité, invalidité et décès.

· Soit au titre des deux risques.

Ce que nous voulons !

La solidarité, une condition incontournable

Lors de notre rencontre le 26 Janvier nous avons fait part au Président de nos exigences en terme de solidarité  : Pour nous cela doit se traduire par la prise en compte de tous les agents du Conseil Général 13 y compris les assistants familiaux et les retraités. Nous avons eu une réponse positive concernant les assistants familiaux. Ceci est pour nous une victoire car cela n’était pas gagné d’avance. Le Président demande que la mise en œuvre de cette participation financière soit effective avant décembre 2012.

L’indispensable dialogue social

Le texte précise que notre employeur a obligation de consulter le CTP sur les modalités de cette participation financière.

Afin de développer une prestation sociale au bénéfice du plus grand nombre d’agents, la FSU demande une participation mensuelle qui pourrait être versée à tous les agents, soit de façon forfaitaire soit en pourcentage plafonné et être modulée en fonction de l’indice et de la situation familiale sur les deux risques  : santé et prévoyance. Au regard des besoins en matière de santé et de protection sociale nous revendiquons le versement maximum possible soit 25 % d’une cotisation moyenne.

Les attentes des agents sont légitimes, le pouvoir d’achat est constamment en diminution, la part des dépenses de santé augmente. Nous continuerons à nous faire entendre sur ce dossier !

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07 mars 2012

Mutuelle où en sommes nous ?

Mutuelles et protection sociale

La participation de l’employeur

est enfin possible !

Le décret n°2011-1474 du 8 novembre dernier, finalise le dispositif juridique encadrant la participation financière de l’employeur à la protection sociale de ses agents.

Quel processus de mise en œuvre ?

Deux procédures alternatives et complémentaires permettent aux collectivités de participer à la protection sociale complémentaire de leurs agents :

· Soit une convention de participation conclue, à titre exclusif entre un organisme et la collectivité après un appel à la concurrence.

· Soit un mécanisme de labellisation au niveau national de contrats d’assurance ou de règlement mutualistes existants sous la responsabilité de prestataires habilitées.

Au Conseil Général 13 lors de la réunion du 25 mai 2011 avec l’administration, la FSU a exprimé comme l’ensemble des syndicats le choix de la labellisation. Ce qui a été validé.

Pour la FSU la labellisation est plus adaptée à la multiplicité. C’est un système plus simple et pleinement solidaire. La labellisation rejoint également les attentes des agents. Une grande majorité veulent pouvoir choisir librement leur complémentaire santé.

Labellisation mode d’emploi :

L’entrée en vigueur des dispositions de participation se fera dans un laps de temps qui ne devra pas dépasser 9 mois précise le décret (Août 2012).

· La labellisation est une procédure simple pour l’employeur, il n’y a pas d’appel à concurrence et pas de cahier des charges. Il délibère sur le montant de sa participation (en euros).

· Chaque agent choisit librement la protection qui lui convient le mieux, parmi les garanties labellisées au niveau national.

· Pour bénéficier de la participation mise en place au CG 13 il faudra que l’agent présente une attestation d’adhésion à des garanties labellisées.

La collectivité pourra apporter sa participation :

· Soit au titre des risques « santé », portant atteinte à l’intégrité physique de la personne et des risques liés à la maternité.

· Soit au titre des risques « prévoyance » incapacité, invalidité et décès.

· Soit au titre des deux risques.

Ce que nous voulons !

La solidarité, une condition incontournable

Lors de notre rencontre le 26 Janvier nous avons fait part au Président de nos exigences en terme de solidarité  : Pour nous cela doit se traduire par la prise en compte de tous les agents du Conseil Général 13 y compris les assistants familiaux et les retraités. Nous avons eu une réponse positive concernant les assistants familiaux. Ceci est pour nous une victoire car cela n’était pas gagné d’avance. Le Président demande que la mise en œuvre de cette participation financière soit effective avant décembre 2012.

L’indispensable dialogue social

Le texte précise que notre employeur a obligation de consulter le CTP sur les modalités de cette participation financière.

Afin de développer une prestation sociale au bénéfice du plus grand nombre d’agents, la FSU demande une participation mensuelle qui pourrait être versée à tous les agents, soit de façon forfaitaire soit en pourcentage plafonné et être modulée en fonction de l’indice et de la situation familiale sur les deux risques  : santé et prévoyance. Au regard des besoins en matière de santé et de protection sociale nous revendiquons le versement maximum possible soit 25 % d’une cotisation moyenne.

Les attentes des agents sont légitimes, le pouvoir d’achat est constamment en diminution, la part des dépenses de santé augmente. Nous continuerons à nous faire entendre sur ce dossier !